Aile du Bitouf des plaines
- Effets
- Description
Le Bitouf n'a jamais été connu pour ses performances en vol. Vu les ailes qu'il a, c'est normal.
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Le Bitouf n'a jamais été connu pour ses performances en vol. Vu les ailes qu'il a, c'est normal.
On raconte que lorsque son premier propriétaire enfilait cette ceinture, il tournait à chaque fois sur lui même. Ce qui confirme qu'il faut être un peu dingue pour porter un truc pareil.
Créée comme une œuvre d'art de la forgemagie, cette pelle creuse très mal, sauf dans la tête de vos adversaires.
Ce marteau a été créé à l'époque du Roi Stéphane, qui a terrorisé des millions de gens.
La cape qui flotte au vent est indispensable pour vous procurer une aura de guerrier, surtout si vous tournez le dos à l'adversaire. Certains pensent qu'elle est renforcée par une plaque de métal qui permet de parer tous les coups sournois.
Faite dans un tissu doux et résistant, cette cape donne aux Ecaflips l'impression qu'ils sont toujours des as, quoi qu'il arrive. Lorsqu'ils remportent la victoire, ils adorent se draper dans ce vêtement avant de réclamer leur récompense : « Et maintenant, t'as qu'à payer ! »
Cette cape est si légère et si fine qu'elle s'envole à la moindre brise de vent, de n'importe quel vent. Pas toujours très pratique, surtout lorsque l'on veut se faire discret, après un repas composé de légumineuses et de diverses boissons fermentées.
La couleur sombre de cette cape lui permet d'être en harmonie avec n'importe quel vêtement, quel que soit son coloris. Comme elle est très ample, elle permet aussi de protéger la tête et le bout du nez.
La Cape Sulhit se met délicatement sur les épaules afin de protéger son porteur des tendinites et de l'enraidissement des articulations. Vêtement aux vertus médicales, il est regardé avec envie par les Pandawas, qui passent beaucoup de temps à porter leur adversaire comme leur allié. Eux-aussi, ils aimeraient avoir un vêtement de ce type.
Cet objet sert à cacher les surcharges pondérales des Sadidas. À force de dormir au lieu de faire de l'exercice physique, les personnages de cette classe développent une tendance à l'embonpoint. Si les Sadidettes possèdent des réserves anti-famine, avantageusement placées pour flatter les regards masculins, les Sadidas tentent plutôt de masquer les leurs grâce à cette cape.
Ce vêtement joue un rôle primordial dans la prestance des Sacrieurs. Ils s'en servent comme bandage pour panser les plaies, comme serpillière pour essuyer le sang, comme descente de lit pour ne pas avoir froid aux pieds. On ne dira jamais à quel point les personnages de cette classe redoutent les sols gelés !
Cette douce cape est parfois employée par les Osamodettes coquettes en guise de couvre-chef aux larges bords. Les Osamodas mâles ne s'en servent que comme pèlerine. Grâce au dessin qui orne cet habit, cette classe de personnages a hérité d'une réputation de grande franchise. On ne les voit jamais rire sous cape car le rire est cousu dessus.
Les Pandawas se servent de cette cape comme protection contre les intempéries et comme accessoire de danse. Ils la posent à terre, au centre d'un cercle de danseurs éméchés. Puis, ils commencent leur chorégraphie improvisée sans que le pied touche le sol en dehors de la zone délimitée par ce vêtement.
La cape Hulco tire son origine du nom d'un Crâ atypique. Celui-ci possédait un sens de l'orientation très particulier. Il était capable de se perdre chez lui. Et pourtant ce n'était pas bien grand ! Son problème résidait dans une déformation des fonctions du cerveau : pour lui, tous les lieux ressemblent une vaste plage, entourée de cocotiers, baignée par la lumière chaude d'un soleil couchant.
Les couleurs chaudes et réconfortantes de cette cape peuvent entraîner son porteur dans un voyage imaginaire, dans des contrées ensoleillées, pleines de canyons creusés par l'érosion, et de décors rupestres taillées dans les roches et les falaises. C'est extrêmement utile pour oublier le froid et la grisaille par temps de pluie.
Les Enutrofs ont pris l'habitude de dessiner une carte sur leur cape, car ils vivent dans un tel foutoir qu'il leur est difficile de retrouver le chemin des toilettes. Cela est très problématique, surtout lorsque l'on est sujet à des envies aussi pressantes qu'incontrôlables !
Avec les bottes Antrin aux pieds, les Iops sont toujours les premiers à arriver sur le champ de bataille et à mettre de l'ambiance. Il faut dire que cette classe de personnages adore amuser la galerie par ses exploits guerriers. Mais elle n'est jamais prise au sérieux en raison de son intelligence inversement proportionnelle à sa force.
On dit que les Sadidas ne se sentent jamais seuls, car ils peuvent invoquer plein de poupées pour leur tenir compagnie. Vous aussi, vous ne souffrirez plus de solitude grâce à ces chaussures ! Non seulement vous pourrez prendre votre pied pour lui parler, mais en plus, grâce à ces charentaises à poils, personne ne pourra plus mettre votre jeu à nu. Une fois qu'on les a enfilées, on se sent vraiment bien, même si on a un peu honte de sortir avec.
Imprégnées d'un produit repulpant à diffusion lente, ces bottes permettent d'améliorer le galbe des jambes et de lutter contre le teint naturellement cadavérique des Srams. Cette crème a des effets spectaculaires sur la plastique des Srams femelles, mais semble totalement inefficace sur les mâles. Serait-ce un problème d'hormone ?
Créées par un artiste Xélor, ces bottes devaient lui permettre de peindre plus rapidement. C'est le cas ! En revanche, elles ont tendance à déformer la vision et plus précisément le sens des distances. Avec ces bottes, tout paraît plus rond. Appréciés par les Sadidas, les tableaux de ce Xélor ont contribué à rendre populaires les courbes généreuses des femmes un peu fortes.
Grâce à ces mi-bottes, vous serez toujours protégés des toxines provenant du sol. On ne se méfie jamais assez des microbes et autres bestioles qui traînent. Selon certains observateurs, ces chaussures ressemblent plus à des pantoufles qu'à des bottes. Pourtant, les Eniripsas les nomment bien ainsi. Est-ce à cause de leur petite taille qu'ils voient les choses sous un angle si différent ?
L'amour des plantes pousse les Sadidas à s'équiper des seules chaussures à reconnaissance florale. Grâce à leur système de détection, elles permettent à son porteur d'éviter d'écraser les plantes rares. Par contre, elles ne vous empêchent pas de marcher sur des excréments divers et variés, si vous ne regardez pas où vous mettez les pieds.
Contrairement aux autres classes, les Sacrieurs aiment vivre avec une épine dans le pied plutôt que de l'enlever du talon. La douleur leur rappelle qu'ils sont vivants et leur donne la rage de massacrer leur ennemi. De plus les traces de sang laissées en chemin permettent aux Sacrieurs de ne jamais se perdre. Ils sont toujours capables de retourner sur leur pas, ce qui n'aurait pas été le cas s'ils avaient des chaussures de mauvaises qualité.
Ces chaussures permettent aux Osamodas d'arpenter de longues distances à travers les continents, même les plus reculés. À part ça, on ne sait pas très bien à quoi elles peuvent servir. Certains estiment qu'il est possible d'en faire des nids à Tofus ou d'élégants vases pour mettre en valeur les fleurs des champs. Tout cela n'est guère convaincant. Bref, les Bottes Swana sont essentiellement des chaussures.
Dans certaines contrées, il semble que les Getas Bernacle sont lancées en guise d'insulte pour provoquer les duels. Même si cela peut prêter à sourire, ce n'est finalement pas plus stupide que de frapper l'adversaire avec une paire de gants. L'avantage des Getas Bernacle est d'ajouter une commotion olfactive au coup physique. Les Pandawas n'ont jamais été réputés pour l'hygiène de leurs pieds...
Ces chaussures permettent à son porteur de danser jusqu'au bout de la nuit, malgré les cors et les ampoules qu'elles occasionnent ! Elles bougent toutes seules au bruit de la musique et font des « bip bip » lorsqu'elles se trouvent à proximité de minerais précieux. C'est pourquoi les Enutrofs sont souvent appelés les « beat-machines ».
Lorsque les Fécas sont embarrassés et souhaitent détourner la discussion, ils évoquent toujours leurs bottes Antouche. Ils décrivent de quelle manière ces chaussures leur permettent d'arpenter tous types de terrains. Lorsque leurs alliés sont en grosse difficulté lors de combats, le confort de ces bottes leur permet de se ressaisir pour détourner la menace.
Les multiples sangles entourant ces chaussures peuvent servir de corde de remplacement, lorsque celle de l'arc est rompue. Les jeunes femmes Crâ les emploient aussi pour faire des bottes de légumes en cuisine. Il faut croire qu'elles n'ont pas peur des odeurs de pieds.
Prosper Youpla était persuadé de pouvoir voler grâce à cette ceinture ornée d'ailes de Bitouf. Ignorant que très peu de Bitoufs savent voler, il s'élançait du haut de l'arbre Hakam et s'écrasait systématiquement au sol, tant et si bien qu'il fût surnommé Boum.
Ce marteau n'est pas pratique, pas spécialement beau, pas très ergonomique, pas puissant, pas assez lourd, trop fragile, mal équilibré, il brille trop et sent mauvais. Mais il est coloré ! Enfin, un peu de couleurs dans ce monde de brutes.
Ce collier donne une furieuse envie de rugir à son possesseur, simplement parce que les moustaches du Mufafah qui l'ornent lui chatouillent les tétons.
Ces ailes en bois améliorées ont été rembourrées et rendues plus légères grâce à des plumes et du tissu de qualité. L'armature étant toujours en bois, vous aurez tout de même du mal à ne pas vous écraser.
Avec ce casque sur la tête, vous pouvez espérer vous élever dans les airs si vous tournez sur vous-même à la vitesse de l'éclair. Pour l'atterrissage, débrouillez-vous.
Si cette cape n'était pas recouverte de moisissure, elle pourrait servir de nappe. Ce n'est pas grave, elle pourra toujours vous servir de linceul.